Le film met en parallèle le quotidien de péruviens organisés démocratiquement dans un système d’autogestion, avec celui de jeunes ouvriers hollandais.
Note : “J'utilise souvent des images brutes, mais en ne les mettant pas à la suite l'une de l'autre, comme le fait le documentaire. Je les fais se heurter ou les associe l'une à l'autre, les renforce ou les démolis au moyen de bruits ou de musique, ou encore les combine avec des fragments joués ou stylisés” Johan Van der Keuken.